Description
Ce sont les retombées de la révolution haïtienne, vues à travers les expériences d’une famille créole, que Julie Gouraud présente dans ce roman. Dans la nouvelle de Michel Möring, une autre famille créole fuit la même révolte. Dans les deux cas, on voit bien que les esclaves participent du topos du bon sauvage ancré dans la littérature depuis Rousseau.
Librairie Hachette, col. Bibliothèque Rose Illustrée, Paris,1878; 3e édition. 54 gravures dessinées sur bois par Emile Bayard. Tranches dorées. nombreuses taches jaune de vieillissement. Aucune page manquante ou griffonnée. Couverture légèrement déchirée sur pliure de la page de garde.
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