Description
” Il est des tranches d’Histoire qui parent d’un talent exceptionnel les peuples comme les individus, les nations comme les cités… “Cette petite phrase presque confidentielle glanée au fil de la lecture de l’Or de Toulouse pourrait bien nous livrer le secret dessein du texte à la fois limpide et affectueux que Fernand Cousteaux consacre à Toulouse : nous dire qu’il aime sa ville. Non point de l’aveugle passion des chantres désuets au chauvinisme orageux, emphatique et verbeux, mais d’un amour doux, lumineux et profond, comme les fins d’après-midi automnales qui habillent de vermeil les quais de la Garonne. Et nous dire pourqoi il l’aime. Parce qu’elle est belle, bien sûr -mais qui ne le sait pas ? Et aussi, surtout peut-être, parce qu’elle a du talent, et que ce fut là sans doute, au fil des siècles, son plus précieux et son plus envié trésor. Son or…
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