Description
Cette jeune parricide de 18 ans est condamnée à mort par la cour d’assises le 12 octobre 1934 à Paris, peine commuée par le président de la République Lebrun en travaux forcés à perpétuité. Le 6 août 1942, le maréchal Pétain réduit la sentence à 12 ans. Elle est finalement libérée le 29 août 1945, puis graciée par le De Gaulle le 17 novembre suivant
La cour d’appel de Rouen rend un jugement exceptionnel dans les annales de la justice française concernant l’auteur d’un crime de droit commun qui a été condamné à la peine capitale, en prononçant la réhabilitation de Violette Nozière le 13 mars 1963.
Cette affaire criminelle connaît un grand retentissement en France et, en raison de son impact médiatique jusqu’à nos jours, est devenue un fait de société.
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